Pour les juges, je n’avais joué qu’un simple rôle
de secrétaire.
« En effet, hormis le conseil initial
de travailler avec Robert Goldman, aucun rôle de conseil de Monsieur Jean-Pierre
Weiller auprès de Monsieur Yannick Noah dans la gestion de sa carrière n’a été
démontré. »
Je n’avais pas « tenu
un rôle prépondérant dans la négociation du contrat entre Yannick Noah et Robert
Goldman », qui avait « été
rédigé et finalisé par une tierce personne ». Ceci malgré les nombreux documents démontrant exactement le contraire mais qui n'ont pas été pris en compte.
D'autre part, le contrat de manager, qu’il soit signé ou non, n’avait aucune valeur à leurs yeux, car cette activité professionnelle n’est pas reconnue en France.
D'autre part, le contrat de manager, qu’il soit signé ou non, n’avait aucune valeur à leurs yeux, car cette activité professionnelle n’est pas reconnue en France.
Ils ajoutèrent : « Il importe peu que les jaquettes du disque de Yannick Noah et les
singles qui en sont issus portent la mention “management : Jean-Pierre
Weiller”, ou que des courriers adressés par des tiers lui reconnaissent ce
statut ».
Le tribunal conclut : « La somme de 100 000 francs proposée par Monsieur Yannick
Noah lors de leur rupture correspondait à une indemnisation juste et
proportionnée pour le travail fourni, jusqu’au jour de la cessation de leur
relation professionnelle ».
J'ai voulu retracer ici de la manière
la plus rigoureuse, sans exagération et scrupuleusement l’histoire de ce succès
improbable, alors que personne au sein de l’industrie musicale ne croyait avant 1998
au « tennisman qui chante ».
Ce récit est l’histoire de mon dévouement et
travail acharné pendant ces trois années, une période qui ne fut pas « un film »,
mais la vie, bien réelle.
Extrait de "Yannick n'est pas Bob", e-book disponible sur Amazon.fr
Incohérent. Je suis triste pour toi Jean Pierre Weller.
RépondreSupprimerLa justice n'a rien fait de juste.
Pourtant ton nom est sur les pochettes de disques et ça , ça restera définitivement.
Yannick Noah est un homme sans pitié. L'argent lui fait oublié ce que vaut l'être humain. Idem pour moi.
La vie est courte . Un jour , a la fin de sa vie , au fond de son ame il pensera a nous deux
Mais t'inquiète pas Jean Pierre , un jour la véritée vaincra. Les gens ne sont dupes. Moi je suis malade a cause de mon affaire. Yannick était témoin de tout quand je gardais son fils. Jamais il c'est demandé, pourquoi je travaillais nuit et jour. Jamais il a demandé a sa femme combien j'étais payé.( 912 euros par moi).
A force d'être célèbre et riche , il est devenu aveugle.
Bonne chance dans ta vie Jean Pierre Bendjebbour Rabra